Les beaux esprits se piquent de critiquer l’Islam, considérant que cette religion encourage l’intolérance et même la cruauté. Et c’est vrai que Daesh prône des pratiques d’une barbarie inouïe.
Je voudrais seulement rappeler qu’il y a un peu plus de deux siècles dans le petit village près de chez moi, les « colonnes infernales » du Général Cordellier massacraient, le 10 mars 1794, 26 personnes, dont 11 femmes, 9 enfants de moins de 11 ans, et trois nouveau-nés. Huit jours plus tard, au moins 118 personnes.
Alors ?
Il faut un gouvernail et un objectif… ceux qui voient leur chemin d’avance en éprouve un apaisement. Et ceux qui veulent encore et toujours l’imaginer se rassure aussi. Tant que les différences chanteront leurs couleurs ont inventera sur le savoir….. pour découvrir toujours : aimer et ne pas aimer. Le chaud le froid, le bien le mal, les autres et soi. Lui et nous. Ce n’est plus une histoire de religion….. les religions sont des contes auxquels ont veut croire. Et pour cause: un but tout tracé. Il serait bon de-réapprendre à’imaginer et croire en Soi avec les autres pas sous les autres. Croire ça peut faire des miracles. ;o))
oui Tévi, les humains ont constamment besoin de se rassurer, les croyances dans des êtres surnaturels qui interviennent dans nos vies! Cela a toujours exister! Dommage que ça ait servi à justifier tant de guerres et de massacres! Pour la religion catholique que nous connaissons la mieux en France, le message fondateur est l’AMOUR. Alors pourquoi l’Eglise a si souvent failli à ce principe initial ??? Mystère!
Loïc.
Merci pour ce long com. La Chapelle que j’ai représentée se trouve près du village de La Chapelle Basse mer dont je parle dans cette note. C’est vrai, c’est loin dans le temps! Mais quand même des êtres humains ont été capables de tels infamies tout près de chez nous! Pour ce genre de folie le temps ne compte pas.
De la même façon les tueries de Daesh devront restées dans la mémoire des gens!
à+
L’humain est un animal dangereux ! Plus encore que le moustique ou le lion.
Dangereux pour la nature et surtout pour ses semblables.
Merci de ton passage Françoise