
et nos connaissances qui sont censées nous libérer, y a-t-il un espace ?
Ou, pour le dire autrement, entre nos connaissances qui devraient nous faire progresser dans la raison
et nos croyances qui nous sauvent de la nécessité permanente de tout remettre en cause,
peut-on glisser un interstice, un petit quelque chose ?
Il me semble que dans cet intervalle minuscule se terre
un mal gigantesque, redoutable, c’est l’impression de savoir !
Non ?
Arlequin commence mal l’année, vous ne trouvez pas ?
Et l’impression de savoir ce qui est bien pour les autres.
Merci pour ton passage. Un petit com fait toujours plaisir, surtout en ce début d’année.