
Lorsque nos conditions de vie changent, nous devons réévaluer notre rapport aux autres.
Cela se fait en général sans se prendre la tête. Nous adaptons nos comportements pour correspondre aux attentes de notre nouvel environnement relationnel!
« L’homme est un animal social » affirme Aristote,
oui, mais « l’enfer, c’est les autres », dit Sartre !
Alors ? Que faire en temps de pandémie et de confinement ?
Si notre relation à autrui est difficile c’est que nous attendons trop de l’autre.
Etre reconnu, admiré, consolé, aimé ?
Mais, supposons que nous puissions trouver en nous-mêmes notre propre identité, que nous cessions de dépendre du jugement des autres, que nous atteignions cette sécurité intérieure qui permet de nommer sans angoisse les différentes situations que nous traversons !
C’est plus l’enfer !… C’est le Paradis !
Belle utopie , non ?
C’est vrai, on peut toujours discourir ! Ca mange pas de pain !
(à suivre)

Jolies tes roses, elles me font penser à l’amour…amour pour les uns et les autres, amour tout court!!!! sans calcul, aimer naturellement …simplement .
Des roses roses, sans épines ! Merci Juliette !
Utopie ? non Paradis ? non plus
La vie continue tout simplement, les pieds sur terre, la tête dans les étoiles 🙂
Elles sentent bon tes roses… merci.