« L’appareil répressif a été complètement contaminé par l’antiterrorisme. Et ce qui caractérise l’antiterrorisme, c’est la neutralisation préventive, avant le passage à l’acte. Autrement dit, le curseur de la répression s’est déplacé. Désormais, pour éteindre les mouvements sociaux et les contestations politiques, les services de renseignement surveillent, espionnent, photographient, fichent (S), puis l’administration (sur ordre du préfet) perquisitionne, saisit, assigne. Et cette situation s’est aggravée avec l’état d’urgence, après les attentats de 2015. »
« Répression, l’Etat face aux contestations politiques » (éd. Textuel) Vanessa Codaccioni.
Voilà à quoi aboutissent les mouvements contestataires dits spontanés qui se servent de la violence comme arme de persuasion!
Dommage, vraiment!
C’est du pastel?
oui du pastel sur du papier velours !!! Hum! Ca te plait ?