Le bonheur du peintre c’est d’avoir beaucoup, beaucoup de pinceaux!
Avoir à sa disposition ce prolongement de la main,
cet outil magnifique, souple ou dur, large ou fin, précis ou grossier !
Des brosses et des pinceaux dont on ne se servira peut-être jamais !
Mais ils sont là, ça rassure !
On est faits comme ça, nous les petits humains, il faut qu’on possède
encore et toujours, comme si nous étions éternels !
Mais quelle stupidité !
Comment en guérir ???
Dites-moi !
On peut en guérir en n’entrant pas dans la société de consommation et, en prenant soin des pinceaux après chaque utilisation, on prolonge leur vie.
c’est vrai, Chinou, tu as raison !!! Bon, il est vrai que les pinceaux aquarelle sont moins sollicités ! à bientôt
Beau dessin de l’artiste et analyse très juste de notre société actuelle de la part sage
heureux de te lire , Claude ! merci !
Le Bonheur de peindre…. en voilà un que je ne connaitrai jamais… même si j’avais des milliers de pinceaux. Je suis nulle de chez nulle…. C’est loin d’être ton cas, j’aime tes dessins et peintures. Bises artistiques LOL
t’es bien aimable avec mes petites oeuvres, Françoise ! Ca me tient en l’ait !!!!
Tu es extraordinaire!!!!!Maintenant, je me remets en question avec tes fichus pinceaux!!!! comme image de ce que certain ont besoin de posséder !!!!! ( il est vrai que j’en ai quelques ‘un qui ne me servent jamais ) ,je prends toujours les mêmes quatre ou cinq ,ce n’est guère dans mon éducation d’avoir !!d’avoir et d’avoir!! Enfin bref s’il ne s’agissait que de pinceaux ce ne serait pas trop grave à mercredi Juliette
mais oui, car on donne aux objets une valeur symbolique qui n’a rien à voir avec leur valeur réelle ! Et c’est bien comme ça ! Merci d’être passée, Juliette !