Cette grenouille envieuse,
Digne fille du boeuf amer,
Enfle, enfle, rieuse,
Comique et laide et fière.
Et nous qui chérissons
Le feu et la lumière,
L’ amour et la raison,
La brume libre et légère,
Sentons venir, hagards,
Des flammes dans le regard,
Cette grenouille noire.
C’est comme si le néant,
S’invitait brusquement
A la table du soir
Pour dévorer l’espoir.
Merci Arlequin de m’avoir renvoyé l’adresse de ton blog car suite à un changement d’ordi j’ai perdu pas mal d’adresses qui me plaisaient. J’adore ton poème et me permets tu de le mettre sur ma page face book en y mettant ton nom?
OK Tevi, très content de te retrouver. A très bientôt.